Nom : Riski
Prénom : Gabriel
Race : Elfe de la lune
Classe : Voleur
Age : 200 (18 ans)
Description Physique :
Je suis plutôt du genre chétif... Malheureusement pour moi ce qui me vaut de ne jamais être pris au sérieux (les adultes!). D'après ma mère, j'aurai hérité des yeux rouges de son père. Heav à tendance à me taquiner là-dessus. Par contre ce que j'aime bien en moi, ce sont mes cheveux, quand j'ai envie de repenser à maman, je me regarde dans une glace... Non pas que j'ai un visage de "fille"...
-Ha bon! J'avais toujours cru que j'avais une soeur jumelle! Fait voir!
-... -_-"
...mais j'adore la couleur qu'ils ont parce qu'ils oscillent entre un bleu ciel et nuit. Ma peau est très pâle, encore plus que ma soeur, on pourrait croire qu'elle est translucide. J'affectionne tout particulièrement mon style, je porte souvent des chemises qui proviennent d'Evergreen. Enfin ce qui l'en reste. En ce moment j'ai du mal à retrouve ces vêtements que j'aime tant... Je porte la plupart du temps un pantalon en lin couleur noir. Je n'ai jamais froid, car pour ma part, je suis un peu plus vampire que ma soeur. Il ne faut pas lui dire, mais même si je peux manger humain en petite quantité, j'évite souvent de manger les plats qu'elle me prépare...
-Quoi?! Je le savais
-... -_-"
Donc vous avez compris que ce que je préfère c'est le sang surtout celui de la biche... qu'elle délice! Malheureusement pour moi, je ne peux pas sortir dehors quand le soleil est au zénith, je ne supporte que les rayons du soleil à son levé et son couché, ils sont moins puissants.
Description mentale :
J'ai du hériter du sang froid de mon père, je n'aime pas vraiment me montrer au devant. Voilà pourquoi j'ai choisie de suivre la voie de voleur... Mon père ne doit sûrement pas être très fière de moi de là haut. Mais c'est la seule chose que j'ai trouvé pour me rendre utile pour le QG. Parfois j'envie ma soeur, elle est plus forte psychologiquement... Pourtant quand j'ai tenu mon père dans les bras pendant ces derniers instants il y a de cela cent cinquante ans, je lui ai promis que je ferais tout pour protéger Heav. Mais je suis déçu qu'elle s'en sorte mieux que moi. Pour tout vous dire, même si on est jumeaux, je sens qu'elle est plus complice avec notre tante Sora qu'avec moi. Mais je peux la comprendre, d'une part ce sont deux filles et d’un autre je n'y comprendrais jamais rien à leur petit gloussement... Ah oui et aussi, je suis un peu ronchon et renfermé sur moi même... Qui voudrait d'un frère pareil. Ne vous inquiétez pas, j'ai quand même mes moments ou je peux être très sociable et ou je peux rire comme un adolescent normal, malgré ce qui se trame à l'extérieur. J'adore aller au QG, même s'il ne le montre que rarement, je sais que mon oncle Liamh m'apprécie beaucoup, j'aime bien partager ces moment de complicité avec lui. Mais il a toujours gardé une certaine distance... Surtout quand je lu souris... Allez savoir pourquoi!
histoire:
Nous avons vu le jour un matin de printemps et avions fait le bonheur de nos parents, un elfe nommé Rik et une vampire d’un nom de Tyna. On apporta aussi un nouveau souffle dans la famille, nos deux oncles Liamh et corenh ainsi que nos deux tantes Antalia et Soraya, nous submergèrent de cadeaux. On nous prénomma Heaven et Gabriel. L’amour nous fit grandir et la gaîté fut notre allié au quotidien.
Prisonnier de cette cage de verre où nous étions choyer, nous ne savions pas quel complot se tramé au dehors. Un soir, nous avions entendu notre père se disputer violement avec Corenh et Antalia. Malgré notre jeune âge nous avions compris que l’extérieur n’était plus aussi rose, une guerre allait éclater. Il y avait deux camps, les bons et les méchants.
-Comment avez-vous pus rejoindre ce monstre ?! Il vous a forcé, soudoyer ? Implorait la voix de notre père
-Mais ils nous offre la sécurité de ne pas être tuer par les siens ! Songes à tes enfants Rik ! Si un jour tu étais tué par les elfes noirs ! Que deviendront-ils ? Et Tyna ! S’écria celle de Corenh.
-Ne m’implique pas là dedans ! Cria cette foie la douce voix de notre mère.
-Mais, ils ont prévu de… commença suppliante Antalia.
-S’ils ne veulent pas nous rejoindre pour une cause juste, ne leur dit pas ce qui va se préparer ! Coupa Corenh.
-UNE CAUSE JUSTE ! Mais tu as perdu la tête petit frère ! Comment êtes vous sur que lorsqu’ils n’auront plus besoin de vous, ils ne mettront pas fin à vos jours ! Antalia, comment peux tu me faire ça… Je vous ai pourtant aimé, vous apportant tout l’amour que nos parents non pus nous apporter…
La voix de notre père avait été au début si claquante, nous l’avions cru si fort et pourtant, à ce moment sa voix se brisa et des pleures s’ajoutèrent.
Depuis cette nuit, Corenh et Antalia ne firent plus leur apparition à la maison, leurs prénoms devinrent tabous et bientôt ce fut comme s’il n’avait jamais existé. Nos parents ne savaient pas que nous avions tout entendu, ils souriaient, mais nous savions très bien qu’ils étaient meurtrit. Les jours, les mois et les années passèrent, notre mère et notre père, ne nous quittaient jamais d’une semelle. Nous avions de moins en moins le droit de jouer tard le soir, mais nous ne rechignâmes jamais… parce que nous savions… nous savions, les horreurs qui se propageaient dehors… nous savions que nos parents craignaient pour notre vie… nous savions tout cela, mais nous le cachions.
Un soir d’été, nous fûmes réveillé en sursaut, notre mère arborait un regard paniqué. Elle nous porta malgré notre âge. Notre père était en train de fermer les portes à clé. Puis nous fûmes emporté à la cave, on nous cacha sous une trappe, jusque là insoupçonnable. Notre père gronda notre mère voulant l’obliger à s’y cacher aussi, mais ses protestations eurent raison. Nous entendîmes au dessus, une porte se fracasser, Il referma la trappe. Nous savions déjà ce qui allait se passer, nous nous serrâmes dans les bras le plus fort possible.
-Prend celui-là, il est moins solide ! Cria la voix de notre père.
-Tu ne toucheras jamais à mes enfants, ordure ! S’époumona celle de notre mère.
Nous avions perdu la notion du temps enfermé seuls dans ce trou noir. Mais nous avions juger que cela faisait au moins une heure qu’ils se battaient. Soudain, un cri effroyable se fit entendre, un cri d’une femme en désespoir, un cri si perçant qu’il nous fit se boucher les oreilles, ce cri se perdit dans la nuit. Le vacarme de la bataille avait cessé, nous attendions que quelqu’un vienne nous chercher. Une autre heure venait sûrement de passer.
Moi Gabriel, ordonna à ma sœur de rester cacher. Je devait savoir ce qui se passé la haut. Je montai lentement les escaliers. J’ouvris la porte grinçante m’attendant à être surprit. Il faisait noir. J’allumai une bougie, une seule, et cette seule bougie me figea sur place. Mon père, le vaillant, le courageux, gisait à terre comme une vulgaire poupée. Je m’accroupi auprès de lui ne le lâchant qu’au petit matin, quand notre tante Sora arriva avec Liamh.
L’enterrement fut rapide, sans témoin. La suite vous la connaissez, Liamh et Sora veillèrent à notre éducation.
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Sam 14 Fév - 18:29